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Quel est le tarif pour réaliser un test d’humidité avec une bombe à carbure

Quel est le tarif pour réaliser un test d’humidité avec une bombe à carbure

Prix pour Mesurer l’humidité par « bombe à carbure » en île de France

Quand mesurer l’humidité avec une bombe à carbure ? Faites votre demande de devis chez nous…

Après tous les travaux effectués pour la construction d’une habitation vient l’étape des travaux de finition. Ceux-ci regroupent entre autres: le carrelage ou la pose de revêtement, la peinture et la décoration.  Envisagez-vous de poser un revêtement ? Si oui, il est important de mesurer l’humidité de la chape avec la meilleure méthode qui existe. Découvrez quand, comment et pourquoi procéder à cette  évaluation.

A quel moment mesure t-on l’humidité avec une bombe à carbure ?

Il est très important de mesurer l’humidité avec une bombe à carbure avant de poser un revêtement en intérieur comme en extérieur. En effet, la chape est un matériau utilisé au cours des travaux de finition des habitations. Elle sert à aplanir une surface avant de poser le revêtement par-dessus.  Il existe différent type de chape :

  • la chape traditionnelle ;
  • la chape liquide en ciment ;
  • la chape liquide en anhydrite.

Selon les caractéristiques du matériau utilisé, le rendu est plus ou moins esthétique. Cependant, lorsque la couche de chape n’est pas suffisamment sèche, l’humidité restante peut  déformer le revêtement. La vérification du niveau d’humidité avec une bombe à carbure permet donc d’avoir l’assurance que le séchage de la chape est optimal.

Comment mesure t-on l’humidité avec une bombe à carbure ?

La mesure de l’humidité avec une bombe à carbure repose sur une réaction chimique qui survient entre le carbure de calcium et l’eau contenue dans le matériau utilisé. Pour effectuer cette mesure, il faut :

  • une bombe équipée d’un manomètre ;
  • un marteau et un burin ;
  • une cuillère ;
  • un pèse ;
  • des billes métalliques ;
  • une ampoule de carbure de calcium.

Une fois tous ces éléments obtenus, le professionnel peut aisément procéder à l’évaluation de l’humidité contenue dans la chape. Celle-ci est réalisée progressivement suivant différentes étapes que sont :

  • s’aider du burin et du marteau pour casser la chape ;
  • récupérer les débris obtenus avec une cuillère sèche ;
  • procéder à la pesée de 100gr de la quantité de débris obtenus ;
  • renverser les 100 gr de chape cassée dans la bombe ;
  • insérer 4 billes métalliques et une ampoule de carbure de calcium ;
  • fermer la bombe hermétiquement et la secouer.

Le suivi de ces différentes étapes permettra à terme d’obtenir sur le manomètre le pourcentage d’humidité de la chape testée. Selon le matériau choisi pour le revêtement, le niveau d’humidité requis diffère.

Pourquoi mesure t-on l’humidité avec une bombe à carbure ?

La mesure de l’humidité avec la méthode de la bombe à carbure offre plusieurs avantages. Elle permet :

  • de mesurer l’humidité de la chape pour prévenir d’éventuelles sinistres après la pose du revêtement ;
  • d’avoir une valeur précise et fiable ;
  • d’obtenir un résultat au bout de quelque minute d’utilisation.

Cette méthode est la seule qui a été reconnue et homologuée par la CSTP (Cahier des Spécifications techniques particulières). De ce fait, elle est utilisée comme référence au cours des expertises judiciaires. Il existe d’autres méthodes pour tester l’humidité d’un matériau mais elles peuvent toutefois induire un biais. La mesure de l’humidité avec une bombe à carbure est de loin la plus fiable.

 

Audit technique bâtiment [en 2024]

Audit technique bâtiment [en 2024]

Audit technique bâtiment : Comment réaliser un audit technique bâtiment ?

Envie de franchir le pas et acquérir votre résidence? Vous envisagez de louer un appartement et vous voulez être sûr de sa fiabilité? Opter pour un audit technique bâtiment, l’outil incontournable pour éviter les mauvaises surprises. Cette investigation présente l’état général de la bâtisse et permet d’en déceler toutes les anomalies potentielles. Il s’agit d’une option sécuritaire dans le but de vous protéger vous, les habitants du bâtiment ainsi que votre investissement. Découvrez la procédure à suivre pour effectuer un audit technique bâtiment.

Déterminer le type d’audit

La réalisation d’un audit technique bâtiment repose sur un certain nombre d’étapes. La première consiste à déterminer le type d’audit à effectuer. En effet, la construction d’un bâtiment implique plusieurs éléments, notamment la menuiserie, l’électricité, la plomberie. Logiquement, il existe plusieurs types d’audit bâtiment et chaque type fait allusion à un de ces éléments cités ci-dessous. Il s’agit:

  • De l’audit du clos couvert centré sur la charpente, la couverture toiture et les extérieurs.
  • De l’audit du second œuvre, relatif aux travaux d’intérieurs : les cloisons, revêtements des sols et des murs, etc.
  • L’audit de production essentiellement centré sur le système d’aération et le chauffage 
  • L’audit des installations techniques qui comprend l’installation électrique, la plomberie, la climatisation et l’installation réseau.

L’audit technique bâtiment est donc réparti en 4 grands groupes et chaque groupe concerne une branche précise. Cet abord est stratégique et permet d’examiner un logement de fond en comble.

Collecter les données

La collecte des informations est la deuxième phase dans le processus de réalisation d’un audit technique bâtiment. Bien que le professionnel en charge de l’opération évalue minutieusement tous les aspects du bâtiment, il est nécessaire pour lui d’avoir un certain nombre de données. Celui-ci devra, pour ce faire, se rapprocher du propriétaire des lieux pour avoir des informations relatives à :

  • L’année de construction.
  • L’usage de la construction.
  • Les documents de la construction et les informations relatives au terrain.

L’expert en audit technique bâtiment peut être appelé par le maitre d’ouvrage ou par l’architecte. Si le bâtiment a déjà été habité, les informations recueillies sur les transformations éventuelles, les conditions d’exploitation, le confort et les difficultés rencontrées sont analysés et vérifiés sur place. 

La phase du recueil des données est effectivement cruciale pour la réussite d’un audit technique bâtiment. Celle-ci apporte des informations concrètes, réelles et pratiques : des informations autres que des chiffres et des estimations.

Synthèse et conclusions élaborées

Après l’analyse des informations recueillies et les relevés d’information sur site, l’expert en bâtiment procède à la rédaction d’une synthèse technique. Celle-ci consiste à :

  • Analyser l’état général du bien immobilier.
  • Présenter les défaillances du bâtiment ainsi que les éléments concernés.
  • Déterminer sa viabilité et sa stabilité.
  • Dire l’origine des défaillances relevées et les travaux de réparation à engager.  
  • Évaluer le bâtiment sur le plan sécuritaire.

Il s’agit d’une sorte de briefing dans lequel l’on devra retrouver toutes les analyses, les inspections et les examens faits sur le bâtiment en question. Par la suite, des conclusions seront élaborées et celles-ci feront intégralement partie du rapport d’audit final.

Contactez Delfy Expertise dès aujourd’hui pour planifier un audit technique de votre bâtiment et garantir la sécurité et la durabilité de votre investissement. Ne laissez rien au hasard, optez pour la tranquillité d’esprit avec Delfy Expertise.

Livraison VEFA : tout savoir 

Livraison VEFA : tout savoir 

Livraison VEFA : tout savoir

Comment se passe une livraison et réception dans le cadre d’une VEFA ?

Imaginez le moment où vous prenez possession de votre nouveau chez-vous, sans aucune inquiétude grâce à une réception de travaux sans défaut. Découvrez comment sécuriser cet instant précieux avec notre guide complet sur la livraison VEFA.

La vente en l’état de futur d’achèvement offre la possibilité d’acheter un bien immobilier encore inexistant ou dont la construction demeure toujours en cours. Bien que cette transaction s’effectue généralement sur plan, les procédures et conditions restent identiques au mode d’achat classique. Si vous envisagez de recourir à une acquisition en VEFA, il importe de prendre connaissance de quelques notions.

Que devez-vous comprendre par VEFA ?

La livraiosn  VEFA ou vente en l’état de futur d’achèvement désigne un contrat par lequel un acquéreur achète un bien en cours de construction puis en devient immédiatement le propriétaire. Pour obtenir ce titre, il doit prendre l’engagement de payer le prix au fur et à mesure que les travaux progressent. Bien qu’il soit le nouveau détenteur du bien, le vendeur possède le droit de conserver les pouvoirs du maitre de l’ouvrage jusqu’à la signature de la réception des travaux. Ainsi, l’acheteur ne peut donc pas s’immiscer dans les travaux durant leur exécution jusqu’à la livraison du bien. 

Toutefois, avant la livraison du bien, le maître d’ouvrage doit rencontrer le constructeur pour signer le procès-verbal de la réception des travaux. Il existe trois types de réception :

  • Réception expresse : elle notifie l’acceptation des travaux par le MO avec ou sans réserve. 
  • Réception tacite : ici, il n’y a pas de procès-verbal, car la réception tacite n’est pas formalisée.
  • Réception judiciaire : elle intervient généralement lorsque le maitre d’ouvrage refuse d’accepter les travaux. 

Une fois la réception des travaux effectuée, le maitre d’ouvrage procède à la livraison du bien à proprement dite au futur acquéreur qui devient alors responsable de la propriété. 

Quelles sont les différentes garanties pour une VEFA ?

L’un des avantages de la vente en l’état de futur d’achèvement est que le nouveau détenteur jouit de plusieurs garanties qui le couvrent en cas de constat de défauts, à court terme comme à moyen terme. Il existe principalement trois types de garanties : 

  • Garantie de parfait achèvement : valable durant un an, à partir de la réception des travaux.
  • Garantie biennale : valable deux ans à partir de la réception des travaux, elle vous aide à obtenir des réparations en rapport aux équipements du bâtiment. 
  • Garantie décennale : avec une durée d’exécution de 10 ans, elle prend en compte les défauts de grande envergure. 

Toutefois, il importe de préciser que pour jouir de ces différentes garanties, vous devez vous assurer que la réception des travaux a été effective. C’est la signature du PV de réception qui marque en réalité le début de l’application des garanties. 

Quels sont les principaux points à vérifier pour une livraison en VEFA ?

Lors de la livraison de votre bien immobilier, vous devez inspecter tout le bâtiment en prenant en compte différents éléments : 

  • Le réseau électrique.
  • La maçonnerie.
  • La plomberie.
  • Les menuiseries.
  • L’étanchéité.
  • Les revêtements.
  • Les cloisonnements.
  • Les surfaces.

Prenez également soin de contrôler l’extérieur de l’immeuble : façade, terrain, toiture, garage, jardin…

De combien de délais disposez-vous pour signaler un défaut après une livraison VEFA ?

En tant qu’acquéreur, vous avez le droit de mentionner vos réserves le jour de la livraison. Le vendeur du bien, accompagné de son maitre d’œuvre, les annexera alors au procès-verbal de livraison. Après ce moment, vous disposez encore d’un mois pour notifier des défauts sur la construction. Pour bénéficier d’une prise en charge, vous devez faire parvenir ces signalements au promoteur à travers une lettre recommandée avec accusé de réception dans les temps. 

Vous préparez la réception de votre bien en VEFA et souhaitez vous assurer que tout est en ordre ? Faites appel à Delfy Expertise pour une inspection professionnelle et détaillée. Nos experts vous accompagnent pour garantir la conformité de votre acquisition et vous offrir une tranquillité d’esprit. Contactez-nous dès maintenant pour une consultation gratuite et protégez votre investissement.

Réception d’une maison en CCMI : Tout savoir

Réception d’une maison en CCMI : Tout savoir

Tout savoir sur la réception d’une maison CCMI

Comment obtenir un contrat CCMI ?

Préparez-vous à construire en toute sérénité : découvrez comment le CCMI protège votre investissement et garantit une réception de votre maison sans surprises.

La construction d’une maison individuelle représente un investissement important. Il s’agit en effet d’un projet complet mis sous la responsabilité d’un constructeur lambda. Pour préserver le bénéficiaire de potentiels désagréments, un contrat de construction maison individuelle (CCMI) est instauré. Celui-ci détaille toutes les informations relatives à la future construction en y incluant les frais réglementaires. La dernière étape et la plus importante dans le processus de construction est celle de la réception. Il s’agit de la phase au cours de laquelle le constructeur livre le bien qui doit être conforme au contrat signé. Cette étape est loin d’être de tout repos et fait démarrer les assurances réglementaires de la construction. Découvrez de quoi il est question.

Quelques notions sur le CCMI

Le contrat de construction maison individuelle, en abrégé CCMI, est une initiative gouvernementale pour préserver le constructeur ainsi que l’acquéreur des lieux. Les dommages liés à la construction d’une maison sont imprévisibles. Ceux-ci peuvent être dus à de nombreux facteurs volontaires ou non.

Le CCMI est un document signé par le constructeur et le propriétaire de la future maison, preuve de leur engagement respectif. En effet, cet imprimé présente les données relatives à la maison à construire, au terrain, à la localisation géographique, aux services à effectuer, aux frais à débourser et à la date de la livraison. Ce document présente de nombreux avantages aussi bien pour le premier que pour le second parti. Le CCMI :

  • Protège la maison de potentiels défauts de construction.
  • Assure une garantie de livraison ponctuelle au propriétaire des lieux.
  • Témoigne des qualifications et des compétences du constructeur en charge des travaux.
  • Assure un certain nombre de garanties au bénéficiaire.

Le CCMI permet également de réduire les échanges entre le bénéficiaire et les intervenants dans la construction. Grâce à ce contrat, le constructeur prendra toute la procédure de la construction en charge sans forcément interpeller le bénéficiaire. Cela implique donc moins de stress, moins de paperasse et ainsi plus de quiétude. 

La réception du CCMI : la dernière étape dans le processus de construction

L’arrivée à ce stade signifie que le contrat de construction individuel préalablement signé est respecté en intégralité. La phase de la réception représente tout simplement la livraison des travaux en bonne et due forme. Il s’agit de la clôture du processus de construction qui se caractérise par la visite de la maison individuelle conformément au CCMI. La réception du CCMI est l’occasion pour le propriétaire de la maison d’inspecter et de se rassurer de la conformité des travaux. Pour cela, il est nécessaire de faire appel à un professionnel en bâtiment. Celui-ci aura la charge de :

  • Vérifier l’absence d’écart entre les engagements du constructeur (selon les documents écrits et graphiques) et la réalisation de la maison. 
  • Inspecter tous les aspects du bâtiment : les fondations, les murs, les revêtements, la plomberie, l’électricité, etc.
  • Vérifier la conformité des travaux d’un point de vue règlementaire. 
  • Relever les anomalies et les défauts potentiels.

La réception de la maison acquise en CCMI nécessite des compétences techniques et réglementaires multiples, d’où la nécessité de faire appel à un spécialiste. 

Quel expert choisir pour vous accompagner lors de la réception de votre CCMI ?

Aujourd’hui les techniciens de haut niveau sont assez rares. L’avènement d’internet met à pied d’égalité les plus compétents avec les débutants. Choisir celui qui saura vous assister lors de la réception de votre CCMI risque d’être un véritable casse-tête. Toutefois, voici quelques éléments qui vous permettront de différencier un professionnel en bâtiment d’un bricoleur. Il s’agit de :

  • Le langage technique prononcé.
  • Le matériel de travail utilisé.
  • La réputation.
  • La compétence de l’expert.
  • La méthode d’inspection est mise sur pied.

Un véritable professionnel se reconnaît grâce à ses compétences et à son outillage de service. Ce détail est particulièrement significatif et témoigne du savoir-faire d’un expert en inspection de bâtiment. 

Confiez la réception de votre maison  sous CCMI à des experts ! Avec Delfy Expertise, assurez-vous une inspection rigoureuse et une tranquillité d’esprit totale. Contactez-nous dès aujourd’hui pour un accompagnement personnalisé.

Réception des travaux : Comment se passe la réception des travaux ?

Réception des travaux : Comment se passe la réception des travaux ?

L’essentiel à savoir de la réception des travaux

Étape indispensable dans un projet de rénovation ou de construction, la réception des travaux représente une phase décisive de votre chantier. Elle désigne le moment où seront passés en revue les différents travaux réalisés pour confirmer leur bonne exécution. Que devez-vous comprendre par réception des travaux ? 

Réception des travaux

La réception des travaux traduit l’acte légal durant lequel le maitre d’ouvrage ou client final du projet valide la conformité des travaux réalisés avec le plan de départ, en émettant ou non des réserves. Le contrôle du bâtiment à l’achèvement, en présence des artisans et du maitre d’ouvrage, aboutit à la signature du procès-verbal (PV) pour authentifier la réception des travaux. Cette étape marque le début des trois garanties légales.

  • Garantie décennale : elle couvre sur 10 ans les dommages concernant la solidité de la structure du bâtiment. 
  • Garantie de biennale ou de bon fonctionnement : elle couvre sur 2 ans les différentes réparations et remplacements en lien avec les équipements démontables qui s’avèrent dysfonctionnels. 
  • Garantie de parfait achèvement : elle concerne les anomalies remarquées dans l’année qui suit la réception des travaux. Le constructeur reste responsable des travaux réalisés pendant un an à compter de la réception et devra effectuer toutes les corrections nécessaires à sa charge, en dehors des garanties obligatoires. 

Il importe de préciser que la réception des travaux est loin d’être une obligation. Cependant, elle reste essentielle afin de bénéficier des garanties en cas de besoin. 

Réception des travaux : que devez-vous prévoir ?

Pour la réussite de l’opération, il est recommandé de se prémunir de certains équipements : 

  • Une torche (possibilité d’utiliser le flash de votre téléphone) : elle vous permet de bien visualiser les zones sombres ou peu éclairées comme les combles ou faux plafonds.
  • Un appareil photo : pour confirmer vos dires, vous aurez besoin de preuves, d’où l’importance de prendre des photos des défauts ou anomalies remarqués. 
  • Une ampoule et un appareil électrique : ces outils vous serviront à tester le bon fonctionnement des prises et des douilles. 
  • Un niveau à laser ou à bulle qui s’avère utile pour s’assurer de la planéité des différentes surfaces telles que le plan de travail ou le meuble sous vasque.

À ces éléments, doivent s’ajouter les documents contractuels en rapport avec le projet. Il s’agit du plan de travail, du contrat de constructeur et du devis. 

Comment établir un PV de réception des travaux ?

Après la réalisation des travaux, l’entreprise en charge du chantier vous fournit deux exemplaires du procès-verbal (PV) de réception des travaux pour que vous en conserviez en cas de besoin. Vous devez alors valider la bonne réception des travaux ou y inscrire la raison de votre refus ainsi que les corrections à effectuer pour son acceptation selon le cas.  Plusieurs cas de figure peuvent se présenter lors de la réception des travaux : 

  • 1er cas, vous remarquez des anomalies : d’une part, vous avez la possibilité d’accepter les clés, mais en émettant des réserves sur le PV avec une date de réparation. D’autre part, vous pouvez refuser les clés en notifiant que le bâtiment demeure « impropre à l’utilisation ». L’entrepreneur vous fournira alors une nouvelle date de réception. 

2e cas, aucun défaut de présent : si après la visite, vous confirmez la justesse des travaux, vous disposez d’une semaine pour notifier les défauts non remarqués après la réception, dans le cas d’un CCMI.

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